300 g de pâte au vin blanc
Une boîte d’abricots au sirop
150 g d’amandes moulues en poudre
15 cl de crème liquide
1 œuf
125 g de sucre
De la confiture de framboise (pour moi des fraises)
La pâte au vin blanc : 200 g de farine tamisée, 100 g de beurre, 1 pincée de sel, 1 œuf, 2 cuillerées à soupe de vin blanc, 3 cuillerées de sucre (pour les pâtes sucrées)
Couper le beurre en petits morceaux et le mélanger à la farine, ajouter le sucre. Réaliser un sablage. Ajouter l’œuf et le vin blanc. Pétrir pour obtenir une pâte homogène. Rassembler en formant une boule. Mettre à reposer 30 minutes au frigo.
2. Egoutter les oreillons d’abricots.
3. Mélanger la poudre d’amandes, le sucre, la crème et l’œuf.
4. Verser la préparation sur la tarte.
5. Y disposer les oreillons d’abricots le trou du noyau vers le haut.
6. Mettre un peu de confiture à l’emplacement des noyaux.
7. Faire cuire 40 minutes à four moyen.
L’arlésienne est le personnage d’une nouvelle d’Alphonse Daudet. C’est une histoire d’amour malheureux.
Frédéri fils unique d’un grand et riche Mas à la campagne tombe éperdument amoureux d’une arlésienne fille de la ville, aperçue aux arènes. Malgré de fortes réticences à cette union les parents de Frédéri consentent finalement à ce mariage devant la souffrance de leur fils.
Un jour un homme vient au mas parler au père de Frédéri, il prétend être l’amant de l’Arlésienne. Pour preuves de ses dires il lui montre des lettres. Le père met Frédéri au courant : l’arlésienne n’est qu’une gourgandine. Frédéri renonce à ce mariage, mais il ne peut oublier sa belle. Il s’enferme dans la mélancolie. Comme ses parents sont de plus en plus inquiets, il décide de donner le change en paraissant être gai et guéri de son amour malheureux. Toutefois, rongé par le chagrin, il finit par se jeter du haut de la fenière, alors que passe la farandole qui clôture la fête des moissons son corps vient s’écraser aux pieds des danseurs…
Cette nouvelle donnera une pièce en cinq actes que Bizet mettra en musique.
La particularité de l’arlésienne c’est qu’elle n’apparaît à aucun moment dans la pièce. On l’attend, mais on ne la verra pas. Cette particularité a donné une expression française « c’est l’arlésienne… ! » qui signifie celle ou celui que l’on attend et qui n’arrive jamais.
Le muguet lui ne joue pas les arlésiennes, il est fleuri juste au bon moment
Le muguet lui ne joue pas les arlésiennes, il est fleuri juste au bon moment
Bonjour Cannot
RépondreSupprimerEn ce jour de 1er mai je te souhaite tous les bonheurs petits ou grands
La tarte Arlésienne est un vrai régal parole de gourmande ...j'aime beaucoup la faire je prends aussi de la confiture de fraises ( je te mets le lien de la mienne "
http://lejournalgourmanddesacha.blogspot.com/2008/01/tarte-arlsienne.html
Merci pour ce bon dessert !
Je te souhaite également un bon week-end
A+++Sacha
ça a l'air super bon cette arlesienne
RépondreSupprimerEt ce toi qui as ainsi baptisé la tarte ?
RépondreSupprimerbonjour jolie tarte plaine de couleurs !! bravo ! Pierre
RépondreSupprimerMerci Sacha, cette tarte flâte les gourmands c'est vrai, elle est toute simple.
RépondreSupprimerBonjour Sab, elle est effectivement très bonne.
Non tiuscha je ne suis pour rien dans le nom de cette tarte c'est bien son patronyme :-). Peut-être parcequ'en Arles il y a beaucoup d'abricotiers et d'amandiers.
Très appétissante ta tarte. ET comme toujours une page de culture.
RépondreSupprimerAh ce que j'aime ton blog!
Bises
J'ai hâte de faire cette tarte qui m'a l'air succulente avec tout ce que j'aime dedans. Merci.
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