mardi 31 mars 2009
Brick au thon sur lit de salade
lundi 30 mars 2009
Salade de Quinoa
mardi 24 mars 2009
Flans de la cantine
Cette nouvelle m'a fait plaisir, et j'ai été contente pour les salariés de cette entreprise.
J'ai acheté 12 verres, maigre contribution, mais les petits rus font les grandes rivières, 12 verres pour tous les jours, pour boire ou pour servir de contenant à ces petits flans au chocolat, à la vanille et à la compote de pomme. Ainsi je garderai les verres à pieds pour le repas du dimanche et du samedi.
Les petits flans dans les verres reviennent à 0,18 euros, un plaisir simple que les enfants adorent, pas de déchet donc écolo, j'achète du lait bio et c'est tellement facile à faire, on fait bouillir le lait, on verse la poudre à flan, on touille au fouet, et hop on verse dans les verres.
Une manière de se faire plaisir, pour pas cher, sans financer la pub, et sans déchet....c'est bon pour la planète...
samedi 21 mars 2009
"Souvenirs d'Eté"
Nous allons bientôt pouvoir commencer à remplir notre « Souvenirs d’été ». Qu’eze à quo ? De quoi elle parle ?
vendredi 20 mars 2009
L'aspic de Marie-Rose...
Liste des ingrédients pour 8 personnes
Un lapin (coupé en trois morceaux)
Deux gousses d'ail et deux oignons épluchés (dont un piqué de 2 clous de girofle)
Un bouquet garni (1 feuille de laurier, 1 petit blanc de poireau, 1 branche de romarin, 15 brins de thym citron, 2 branches de persil plat, 2 branches de sarriette)
Quatre belles carottes
Une demi-bouteille de vin blanc sec
1,5 litre de bouillon de volaille (ou 3 tablettes et 1,5 litre d'eau)
Dix belles branches d'estragon
250g d'olives vertes dénoyautées
Des cornichons
Six feuilles de gélatine alimentaire
Sel et poivre
On noue son tablier, on lave ses mimines, et on attaque...!
Dans une grande marmite avec couvercle, mettre les gousses d'ail et les oignons, le bouquet garni mis dans une mousseline, les carottes épluchées et coupées en rondelles d'environ un centimètre d'épaisseur, le vin blanc, le lapin coupé en trois, du sel, du poivre et le bouillon pour juste recouvrir. Couvrir avec un couvercle et laisser cuire deux bonnes heures à feu tout doux. Le lapin est cuit quand la chair se détache facilement des os.
Egoutter le lapin, passer le liquide de cuisson en réservant les rondelles de carottes pour la décoration. Remettre le bouillon sur le feu et le faire réduire un peu (il vous faut garder 80 cl de bouillon). Ramollir dix minutes les feuilles de gélatine dans un grand bol d'eau froide. Les égoutter en les pressant bien dans la main. Les dissoudre en les mélangeant dans 80 cl de bouillon très chaud mais hors du feu. Couler un centimètre de gelée dans le fond du plat et laisser prendre au frais. Laisser également bien refroidir le reste du bouillon. Pendant ce temps, désosser délicatement le lapin et réserver la chair (coupée en dés si nécessaire) dans un grand saladier. Réserver quatre sommités de branche d'estragon. Ciseler finement le reste des feuilles, les mélanger à la viande avec les olives et les cornichons coupés en rondelles. Goûter et rectifier l'assaisonnement selon votre goût. Lorsque la gelée du plat est prise, décorer joliment ce qui sera le haut de l'aspic avec l'estragon réservé à cet effet, des rondelles de carottes et des demi-olives. Remplir le moule avec le lapin assaisonné. Verser le bouillon presque jusqu'au bord et laisser prendre douze heures au frais. Astuces : - Pour votre aspic utilisez un moule à cake, un moule à baba, ou encore une plaque de moules individuels en silicone,( moi j’utilise la même que pour faire les cannelés),... pour décorer, glissez des rondelles de carottes contre les parois du moule juste avant de verser la gelée. - Servez votre aspic avec une salade de jeunes pousses (roquette, cresson, mâche, épinards) ou avec un plat d’œufs mimosas.. -Et si vous prenez le temps de cuisiner, prévoyez une journée de plus pour cette recette et comme Marie-Rose le faisait, laissez vos morceaux de lapin refroidir dans leur jus durant toute la nuit, la chair en sera encore plus moelleuse et le bouillon plus goûteux. -Mettez votre bouquet garni dans une gaze ficelée cela évitera au thym citron de disperser ses feuilles.
jeudi 19 mars 2009
Il fait si beau...
mardi 17 mars 2009
Salade de foies de volaille aux noisettes
2 cuillerées d’huile de tournesol
1 cuillerée d’huile de noisette
1 cuillerée de vinaigre balsamique blanc
60 g de noisettes en poudre
½ jus de citron
Salade verte batavia ou laitue
300 g de foies de volaille cuits
à la graisse de canard.
4 pommes de terre rattes
cuites à la vapeur.
½ pommes granny smith
Quelques radis coupés en rondelles
Le pâté lorrain...
Il vous faudra pour 4 personnes : 
lundi 16 mars 2009
Salade de canard séché à la vinaigrette de prune, ou, salade de viande des grisons à la vinaigrette de pêches
250 g de prunes rouges au sirop, dénoyautées
Ou des pèches jaunes au sirop
1 cuillerée à soupe de miel
1 cuillerée à café de sauce Worcestershire
Quelques gouttes de tabasco
Magret de canard séché
Ou de la viande des grisons
Des croûtons
2 gousses d’ail coupées finement
4 oignons nouveaux
De la salade (frisée, roquette, batavia)
Faire la sauce ainsi,
Mettre quelques prunes (ou pèches) et tous les ingrédients dans une petite casserole. Amener à ébullition et faire frémir 5 minutes. Passer au mixer. Vérifier l’aissaisonnement. Mettre au frais
vendredi 13 mars 2009
Le grand aïoli provençal
Aïoli :
12 gousses d'ail (davantage selon les goûts)
1 jaune d'œuf
400 ml d'huile d'olive
1 cuillère à café de sel fin
Le jus d’un citron
Sel, poivre
Garniture :
1,5 kg de morue salée
Des bulots cuits ou de grosses moules
6 oeufs durs
1 chou-fleur
1 coeur de céleri
6 betteraves rouges
12 carottes
12 pommes de terre
500 g de haricots verts
3 bulbes de fenouil
1 oignon
2 clous de girofle
1 bouquet garni
Du sel

Le jardin oublié...(fin)
Sur le mur du fond à droite s’alignaient les clapiers, les cabanes à rangement. Et sur la gauche, au fond bien à l’abri, le coin des pommes de terre nouvelles avec leurs petites fleurs blanches à cœur jaune. Un régal ces pommes de terre nouvelles, leur fine peau, s’en allait en les lavant à l’eau claire. Passées au beurre dans la grande poêle noire, accompagnées d’une salade tendre, elles avaient le goût du bonheur.
- Il était grand son jardin alors ?
- Oh oui immense, c’était son domaine. Elle y inventait des jeux fabuleux. Ramassait les escargots à chaque pluie qu’elle enfermait dans une caisse recouverte d’un grillage.
Dès qu’elle sortait de l’école elle filait au Clos, retrouvait le livre de la bibliothèque rose qu’elle avait commencé la veille, rêvait, écoutait les oiseaux, regardait son père travailler.
Et puis elle a grandit, mais dans son cœur il y a toujours un jardin secret, un jardin qu’elle n’a jamais oublié….

jeudi 12 mars 2009
Le jardin oublié...
Elle aimait le clos.
De la rue Saint-Alban on y accédait par une grande porte cochère, à deux battants, toujours fermée. Dans la grande porte, une porte plus modeste était aménagée, c’est par là qu’on entrait. La porte franchit on se retrouvait sous une voûte formée par la maison d’habitation. Puis une cour gravillonnée où fleurissait un magnolia. Les larges fleurs charnues exhalaient un parfum entêtant. La cour aboutissait à un escalier, comportant 5 ou 6 marches, prolongé de chaque côté par un muret où les chats jouaient au lézard.
Au bas de l’escalier s’étalait le jardin, avec ses allées en forme de croix. Au centre de la croix un parterre de rosiers buisson d’un rouge franc exploserait ses parfums et ses couleurs au mois de mai, pour l’heure savamment taillés, ils signalaient leur éveil par des bourgeons grenat et vert. Sur la gauche une dizaine de buttes attestaient de la présence de turions d’asperges. Elle aimait chasser l’asperge, comme elle disait, il fallait repérer la petite pointe, qui affleurait de la terre. Son père enfonçait dans la terre meuble, un outil à long manche, donnait un petit coup sec et tirait délicatement l’asperge qu’il déposait dans un panier. Quand c’était le moment, il y en avait tant qu’ils en mangeaient jusqu’à l’écoeurement.
Le jardin était entièrement clos de murs. Un espace protégé des vents forts que le moindre rayon de soleil réchauffait. Sur les deux murets partant de l’escalier et qui côté jardin avaient environ deux mètres de haut, se réchauffaient des poiriers conduits en palmettes, ils donnaient à l’automne des fruits coulant le sucre, que l’on devait protéger des guêpes.
Les planches de légumes s’alignaient de chaque côté de la large allée centrale, bordée en été de petits œillets mignardises blancs et d’œillets de poètes. Une bande étroite était consacrée aux plantes aromatiques, persil, ciboulette, estragon, thym. Ail et oignons se trouvaient à proximité. Une planche était prête pour recevoir les pieds de tomates. Les tomates qu’elle adorait manger avec une tranche de pain aillée et qui souvent laissaient dégouliner leur jus sur sa salopette…(à suivre)mercredi 11 mars 2009
Carottes en cocotte-minute
1 kilo de carottes
2 gousses d’ail
1 tranche de poitrine
1 cuillerée d’huile d’olive
1 demi oignon
1 cube bouillon de légumes Jardin Bio
Crevettes piquantes sur lit de salade
Il faut pour 4 personnes :
40 crevettes de taille 40/60
2 jus de citron
1 cuillerée à café de piment d’Espelette
Une salade laitue ou batavia
Des croûtons à l’ail
2 cuillerées à soupe d’huile neutre
1 cuillerée à soupe d’huile d’argan
1 cuillerée à soupe de vinaigre balsamique blanc
mardi 10 mars 2009
Souvenirs de cantine...
Côtes de veau au citron et aux câpres
Sortir la viande du frigo, 1 heure avant sa cuisson.
Dans une grande poêle on fait chauffer l’huile d’olive. On poivre la viande sur les deux faces, et on met à cuire les côtes, une fois la viande saisie, on met sur feu moyen.
Quand les côtes sont cuites, comptez 12 minutes, on les enferme dans une feuille de papier aluminium.
On jette l’huile qui a servit à la cuisson, mais on n’essuie pas la poêle. On remet sur le feu et on déglace avec le vin blanc, on décolle bien les sucs de viande avec une spatule. On met le jus du citron, et on verse la sauce dans une petite casserole. Dans la casserole on ajoute les cubes de beurre en fouettant pour les faire fondre (on appelle cette opération « monter » au beurre) on ajuste l’assaisonnement et on incorpore le zeste du citron et les câpres. On remet la viande dans la poêle, on l’arrose avec la sauce, et on maintient au chaud jusqu’au moment de servir (surtout ne pas faire bouillir la sauce).
On accompagne avec des pâtes et un piment vert entier posé au bord de l’assiette, ceux qui aiment pourront le rajouter.
On peut remplacer le pain par des grissini pour une note encore plus italienne
On offre avec ce plat italien, un chianti rouge
LA SALADE ÉCARLATE DU LOT ET GARONNE
Les ingrédients Une salade verte batavia ou laitue Une grosse tomate noire bio de Crimée Du magret séché Quelques fraises rond...
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C'est l'été...! Le temps des Beaux Jours est de retour. Doucement la chaleur s'installe. Les premières cigales sont nées, l'...
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Les ingrédients Une salade verte batavia ou laitue Une grosse tomate noire bio de Crimée Du magret séché Quelques fraises rond...
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Le lomo c’est quoi ? Bonne question. J’ai découvert cette spécialité basque pendant ma balade d’automne dans cette remarquable région. Le l...



